
Vous en avez marre de toujours écouter la même chose ? Vous voulez de la nouveauté ? Du sang neuf ? Ça tombe bien, moi aussi ! Et c’est pour ça que ce soir, je vous propose de jeter une oreille (ou les deux ?) sur Disco Nected. Formé en 2015, le trio parisien a sorti dans la foulée un premier EP intitulé Family Affair suivi de Vision Division en 2017, toujours au format EP. Leur musique, comme leur nom ne l’indique pas, est du Heavy-Rock inspiré de la scène Heavy des années ’90 (la meilleure), allant de la ballade mélancolique au son bien lourd, en passant par des riffs plus envolés en restant accessible à tous dès la première écoute. Et on se demande même pourquoi ils se sont arrêtés à cinq titres. Hein ? Pourquoi ?
Je ne vais pas vous faire la revue de toutes les chansons de la formation (Non, ce n’est pas qu’il y en ait trop, c’est surtout que ça n’a aucun intérêt !), je vais uniquement vous présenter les deux titres qui, pour moi, sont les plus parlants, les plus révélateurs de la musique du groupe. Et ça tombe bien, ce sont les pistes une et deux de Vision Division, le dernier né de la formation.
Commençons par « Here to Stay ». C’est peut-être le morceau le plus représentatif de la musique du groupe avec ses guitares saturées, sa voix bien posée et sa batterie réglée au millimètre. Le refrain est facile et entêtant, mêlant ligne mélodique et riffs entrainants. On n’oubliera pas de noter le pont en acoustique qui donne une dimension nouvelle au titre.
Le deuxième morceau que je vous conseille est “Unity”. Ce titre, très rock, est ultra fédérateur. On agite la tête, on sautille, on s’égosille sur les chœurs.
Passé ces deux découvertes, si elles éveillent votre intérêt, vous savez ce qu’il vous reste à faire !
La musique de Disco-Nected est disponible notamment sur Spotify, via leur site http://disconectedband.com/
En conclusion, Disco-Nected ne révolutionne pas le genre, mais propose une musique accessible immédiatement, sans chi-chi, plutôt agréable à écouter. Je pense que la formation est à suivre plutôt de près, parce que le jour où ils auront trouvé leur truc, leur petit “plus” , ça risque de faire mal !
Texte : Camille
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